Le nombre de couleurs perçues dans l'arc-en-ciel n'est pas le même pour tout le monde. Mais d'après vous, d'où viennent ces différences ?
C'est tout simplement parce que le nombre de couleurs visibles dans un arc-en-ciel varient effectivement en fonction de la position géographique et de la période d'observation.
C'est une question de génétique. Les hommes de l'antiquité ne percevaient pas certaines couleurs, notamment dans les bleus et les verts. Encore aujourd'hui, certains peuples ont des prédispositions génétiques qui les empêchent de voir toutes les couleurs.
C'est uniquement lié à la culture et à la langue. En réalité, tout le monde voit les mêmes couleurs, sauf bien sûr les daltoniens.
Raté !
Comme vous le verrez plus loin dans ce mini-mooc, l'arc-en-ciel est un phénomène physique qui produit partout les mêmes couleurs. Seuls sa hauteur et le nombre d'arcs peuvent varier.
Par contre, le fait que les couleurs soient une notion culturelle est bien établi. La référence ci-contre à la nouvelle de science-fiction de Roland C. Wagner intitulée Ce qui n'est pas nommé résume bien les relations entre langue et couleurs : les couleurs qui n'ont pas de nom n'existent pas. Et inversement.
Raté !
Au cours de l'évolution, il est probable que la perception des couleurs ait pu changer parce que l'oeil et le cerveau ont évolué. Mais c'est probablement négligeable à l'intérieur de l'espèce homo sapiens.
Par contre, le fait que les couleurs soient une notion culturelle est bien établi. La référence ci-contre à la nouvelle de science-fiction de Roland C. Wagner intitulée Ce qui n'est pas nommé résume bien les relations entre langue et couleurs : les couleurs qui n'ont pas de nom n'existent pas. Et inversement.
Bravo !
Le fait que les couleurs soient une notion culturelle est bien établi. La référence ci-contre à la nouvelle de science-fiction de Roland C. Wagner intitulée Ce qui n'est pas nommé résume bien les relations entre langue et couleurs : les couleurs qui n'ont pas de nom n'existent pas. Et inversement.